marque/signature Hissette François- acte du 21 avril 1714
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Aux origines du nom ... et origines de la famille Hissette
Selon une approche reposant sur l'histoire orale de la famille, la prévalence du patronyme et l'histoire locale, la lignée des Hissette serait originaire de la Lorraine Belge (Arlon et environ) voire du nord meusien ou ardennais.
Un dictionnaire belge mentionne l'origine etymologique du nom Hissette (voir ci après extrait du dictionnaire des noms de famille en Wallonie et à Bruxelles ).
Dans un document, non publié ( Histoire de la Famille Dumont - St Léger - Louvain 1967), le rédacteur Camille Fr Dumont indique - page 14- que compte tenu des conditions de vie, des charges et impositions diverses d'une population déjà soumise aux fléaux des épidémies et de la guerre de trente ans "plusieurs villageois de St Léger - où l'on recense la présence du patronyme Hisette "vont chercher fortune ailleurs". Se référant au dénombrement de 1659, l'auteur mentionne qu'à St Léger " ont connait le noms de neufs personnages et familles qui ont déménagé. Il cite à l'appui les archives de l'Etat à Luxembourg ref A XIII, 12, p51v et 52 qui mentionnent que les personnages et familles "....dont les uns étant retiré en la Lorraine et autres en pays de Hainaut et pays de Liège sans que les comparants (mayeurs et échevins) puissent savoir les lieux où ils se sont rétirés".
Une autre approche, plus romancée pourrait rattacher ce nom à une origine normande, le patronyme de ISET (et peut être les variantes Izette, Hiset, Hisette, Hissette, Hizette étant assez courantes dans cette région et elles sont mentionnées par plusieurs études de généalogie - dont "Histoire des Familles de Freistroff" - Cercle de généalogie de la Nied -Archives départementales de la Moselle).
Les politiques de repeuplement de la Lorraine après l'épidémie de peste de 1625/1636, ainsi que la guerre de Trente ans s'étant tarduite par des apports de population de diverses régions voir du Palatinat, de Suisse ou d'Auriche (voir histoire de Hestroff ; hestroff.com )
L'arrivée de picards est ainsi mentionnée dans la région de Pfafenhoffen (origine de la famille Albrecht)... en raison de droits dont disposait alors un noble sur cette partie de l'Alsace et sur des contrées picardes....
Alors pourquoi pas des Normands...
Et c'est là que notre imagination peut commencer à vagabonder dans le temps et l'espace... en effet les ascendances normandes nous renvoient vers des origines de "normands"comme il se doit.....
C'est ainsi, qu'on trouvera en Norvège des lieux dits "ISET"... et dont la signification serait une banquette de terre ou autre dans les anciennes habitations vicking (chalets en bois à moitié enterrés et recouverts de terre).
Lorsque que l'on sait que bon nombre de patronyme ont une origine liée à des lieux, on peut alors rêver.... et encore imaginer ....
On peut également romancer ces origines en les reliant par exemple à Henry Hisette, habitant de St Léger, cavalier en garnison à Luxembourg qui a l'issue d'une rixe dont la cause reste inconnue, a tué dans le courant des années 1650/1670 "Henri Dumont d'un coup de fusil " résidant également à St Léger comme le signale Camille Fr. Dumont dans son ouvrage pré cité - page 19 - Par la suite Henry Hisette "s'étant sauvé et rendu fugitif", seul un témoin ou ami de ce dernier ayant été retenu par les autorités...
Henry Hisette n' a t il pas souhaité vouloir se soustraire à toute juridiction Grand Ducale et espagnole en se réfugiant sur les terres lorraines relevant du Duché de Lorraine.....Il reste cependant à relier ce fait divers à notre histoire familiale... Mais, il illustre les moeurs dans cette période troublée.
Quelques données statistiques :
Le patronyme Hissette est peu courant en France.
Durant la période 1891 - 1915 il est essentiellement localisé dans les départements de l'Est (Moselle, Meurthe et Moselle, Meuse, Ardennes).
Vers la fin du XVIII ème siècle, on trouve ce patronyme essentiellement en Moselle (Anzeling et Hesstrof), dans le Nord Meusien et Meurthe et Mosellan.
Une souche est également repérable dans les Vosges à cette époque. On notera également la présence à Nancy d'un éditeur (Mme Vve Hissette).
Dans cette période, la prévalence de ce patronyme est plus marquée dans la partie des ardennes belges (Lorraine belge, Arlon et environ) ainsi qu'au Luxembourg.
On retrouvera également une souche du patronyme à Affleville (Meurthe et Mlle) et à Rouroy sur Othain (Ardennes).Plusieurs personnes originaires de ces villages ont été évacuées en 1914- 1918 respectivement à Mudaison - Hérault- et à Perpignan (P.O.)
(Source Généalogie. com - liste des personnes évacuées établies par le Ministère de l'Intérieur)
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Le mariage de François avec Anne Sabé...
Les personnes impliquées :
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Deux souches de ce
patronyme sont localisées dans l'est thionvillois.
L'une résidente sur
Aboncourt et dont la souche serait Hissette Nicolas. Avec son épouse
Marguerite Laurent ils ont eu plusieurs enfants de 1728 à 1743,Un
Hissette Jean mariée avec Anne Marie Baudre est également relevé
avec la même localisation et dans la même période. Une génération
de descendants a pu être répertoriée, après on perd la trace de
cette famille à la fin du XVIIIè siècle...
Le lien avec cette souche
n' a pu être établi que très récemment à la suite de la
« découverte » de l'acte de mariage de Hisette Nicolas
en date du 26 Aout 1727 à Aboncourt. Il ressort de ce document que
Hissette François qui est l'origine de notre branche familiale est
témoin et apporte d'une manière probante sa filiation avec Nicolas
en apposant sa marque au bas de ce document sous la forme symbolique
d'un dessin de marguerite.
On retrouvera cette
marque sur tous les documents et actes notarié, ce qui facilitera
d'ailleurs les recherches au milieu des volumineux recueils d'actes
de déposés dans les archives en repérant ce signe dans toute
cette « littérature ».
Compte
tenu de la proximité des dates des événements familiaux
(apparition des couples, naissances des enfants) qui ont marqués la
vie respective des familles de Nicolas et de François on peut
déduire qu'ils appartenaient à la même fratrie.
« Cerise
sur le gâteau », la découverte de cet acte de mariage a
permis révéler le nom des parents, jusqu'alors inconnue et ce
depuis le début de nos recherches il y a une dizaine d'années.
Le
père de Nicolas et de François se prénomme Jean et le nom de la
mère est Marie Baudré sans autre précision d'origine ou
d'existence (non décédés?)
La seconde souche dont est
issue la branche de notre famille a donc pour lieu d'origine Anzeling
Freistroff1,
villages dans lequel Hissette François (* vers 1683 à Anzeling2),
cordonnier de son état3,
contracte un premier mariage avec Anne Sabé (ou Annam Sabée) au
début des années 1700.
Le nom de la famille de
l'épouse est d'ailleurs répertorié à plusieurs reprises et son
origine serait espagnoles selon certaines sourcese. Le père, Pierre
Sabe est venu du sillon mosellan, de Vigy et il s'est marié le 8
février 1689 avec Marguerite Brettnacher. François Hissette prendra
une seconde épouse Anne Marie Barbe dont les parents sont également
issus de famille établies à Freistroff ; François Barbe et Anne
Marie Graf. On comptera 9 enfants issus de ces deux unions.
C'est ainsi que par la
filiation des ascendants de la première épouse que se dessine
l'implantation familiale. Cette union sera à la source d'une
parentèle très élargie et dans laquelle on va retrouver de
nombreux patronymes : Brettnacher, Louden, Depenveiller, Blimer
et beaucoup d'autres qui font parties dans cette période des
communautés villageoises de Anzeling, Freistroff, Gomelange,
Hestroff. Certaines familles ont une implantation ancienne : la
famille Brettnacher est originaire de Villers Brettnach4
… d'où l'origine du nom « Brettacher » c.à.d. .natif
de Brettnach. En revanche à Brettnach, ils seront surnommés
« Anzeliger »...ce qui se traduit par « originaire
de Anzeling ». Les familles Blimer, Depenveiller font également
partie de ce que l'on peut qualifier de « notables » dans
la mesure où se sont des propriétaires terriens.5
Selon une source
différente, dans un texte relatant l'histoire des familles de
Hestroff on retrouve une note concernant la famille Sabe et la trace
du mariage avec notre ancêtre François Hissette... sans autres
précisions.
Il reste donc à mettre
main sur cet acte de mariage pour situer exactement le début de
cette saga familiale. Au delà, il reste également à établir dans
la région de Freistroff/Aboncourt les traces de l'arrivée de ces
proches immigrants (François Hissette) comme cela a pu être établi
pour les familles originaire du Tyrol, d'Autriche...
L'installation de la Famille Hissette en Lorraine
Au début du XVII
ème sicle, Anzeling faisait partie de la prévôté de Sierck et
pour moitié fief du Sieur de Varsberg.6
Selon les
vicissitudes de l'époque les fiefs relèvent soit du roi de France
soit du Duc de Lorraine.
A la fin du seizième
siècle …....
Les rédacteurs du
« Livre des Familles d'Anzeling relatent de la manière
suivante, l'histoire de cette communauté villageoise
« Anzeling et Edling
dépendaient de la paroisse de Freistroff. Chaque localité avait sa
chapelle. Celle de Anzeling fut construite entre 1724 et 1730 et
elle est dédiée à St Hubert.
A partir de 1769 un vicaire résidant
demeure à Anzeling, il tient les registres paroissiaux.
Certains habitants d'Anzeling font
néanmoins enregistrer leurs actes à Freistroff. Ceux d'Edling vont
tantôt à Anzeling, tantôt à Freistroff et encore pour une bonne
part a Hestroff. La difficulté consistait à repérer les actes
concernant les habitants d'Anzeling et d'Edling.
Edling fût rattaché à la paroisse
de Hestroff au concordat, donné par décret du 29 juillet 1811 à la
succursale d'Anzeling. Anzeling fut érigé en cure le 9 mai 1849 »
Mais à cette époque
le noyau de la famille Hissette à migré vers Hestrof et on
retrouve le patronyme dans les deux communes d'origine, Anzeling et
Freistroff.
Les registres d'Etat
Civil sont tenus dans les deux localités à partir de 1792, année
de la création des communes. La commune d'Edling sera rattachée à
celle d' Anzeling le 29 juillet 1811.
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1Plus
largement la famille a essaimé en debut du XVIII è siècle sur
l'axe des villages Hestroff, Edling, Anzeling, Freistroff relevant
de la prévoté de Bouzonville.
2Date
et pertinence de cette source à confirmer (Histoire des familles
de Freistroff)
3Histoire
des Familles de Freistroff – Archives départementales de la
Moselle
4
La famille est propriétaire à Brettnach dans un pied
terrier datant de 1626.
5Voir
inventaire de 1704
6D'après
le « Livre des Familles d'Anzeling » et le « Livre
des Familles de Freistroff » - ADM 2014
Le mariage de François avec Anne Sabé...
On ne connaît pas pour
l'instant la date de mariage de François Hissette avec Anne Sabé
La date de leur mariage n'est donc pas connue à ce jour mais on peut supposer qu'il a eu lieu entre 1710 et 1715. En effet, le premier enfant vif en l'état actuel de l'exploitation des archives sera, Jean Pierre qui naitra le 10 septembre (ou 19) 1716 sa mère ayant alors 25 ans.
Anne Sabé (1691 – 1749)
est la fille de Pierre Sabé et de Margerite Brettnacher (certains
arbres mentionnent Nicolas Sabe et ce point reste en discussion)
On connait assez bien
l'histoire de la famille SABE qui est rapportée dans plusieurs
études généalogique.
Au départ, les Sabé
étaient des vignerons à l'instar des BERNARD avec qui ils ont fait
alliance et sot localisés à Hestroff. Les deux familles
trouveraient leurs origines dans le pays messin. Pierre Sabé, lors
de son premier mariage à Anzeling, est cité originaire de Vigy.
L'origine du nom Sabé serait ibérique. A noter que Pierre Sabe
s'est marié trois fois...
Un acte notarié en date
du 19 janvier 1691 fait état de la cession d'une batisse à Pierre
Sabé et à Marguerite Brettnacher par un « bourgeois »
de Sarrelouis pour 200 « tour » francs barrois.1
Iref ADM 3 E 2061]
relaté dans « Histoire des habitants d'Anzeling », annexe III :
relaté dans « Histoire des habitants d'Anzeling », annexe III :
« Le 19 janvier 1691 Jean Nicolas Adolff, bourgeois de Sarrelouis, cède à Pierre Zabé (Sabé) et
Marguerite Brettnacher 200 tour francs barrois..... »
La famille SABE, comme la
famille BERNARD2
(3ème épouse) sont sans doute « bien » installés dans
ces villages à proximité de Anzeling
Selon
la traduction figurant dans l'ouvrage « Histoire des Familles
de Fresitroff » François Hissette x Anne Sabe y déclarent que
par contrat du 7 juin 1691,3
Catherine Nimsgern veuve de Nicolas Brettnacher d'Anzeling aurait
« engagé » à Christian Blimer et Pierre Orscholtz
laboureurs à Anzeling 62 écus...
Le mariage avec Anne
Sabé sera le point de départ d'un important réseau familial.
Dans cette fin de siècle,
le droit coutumier, les usages constituent le corpus juridique autour
duquel s'organise la famille, les échanges, les droits seigneuriaux
ou des communautés religieuses. L'occupation française entre 167 et
1698 suivit du règne du Duc Leopold conduira à l'introduction
progressive d'une réglementation des droits civils qui
fusionneront avec ceux du Royaume de France à la mort de Stanislas.
Dans ces « pays »
c'est une vision gallicane du mariage « contrat » qui
prévaut exigeant un libre consentement mutuel des futurs époux.4
Le contrat de mariage est assez courant ce qii dénote une immixtion
d'un contrôle civil dans ce sacrement soumis à la publication de
bans et au consentement des parents notamment en cas de minorité, la
majorité civile étant acquise à partir de 25 ans. Le sacrement du
mariage était un acte majeur conditionnant la légitimation des
enfants.
L'endogamie, c'est à dire
la recherche d'une alliance dans le même corps social, linguistique
ou géographique (la paroisse) est souvent observée. Mais nous
sommes à l'issue d'une période troublée où les « codes »
ne sont plus aussi contraignants. Dans le pays thionvillois5
on observe ainsi de nombreux mariages avec des soldats ne souhaitant
pas retourner dans leur province d'origine ou des émigrants
(Picards, Flamands, Belges, et des Autrichiens comme à
Hestroff,.).
Ce qui semble être le cas
de François Hissette émigrant ou fils d'émigrant venu de la
Gaume 6...
La coutume dans ces
contrées, disposait que la femme mariée est au pouvoir de son
mari après le mariage consommé. A priori , elle ne pouvait
ni aliéner ses biens, ni contracter un acte juridique sans
l'autorité de celui-ci7.
Cette incapacité civile trouvait cependant ses limites comme on le
verra à l'occasion d'un recours introduit par une fille du couple,
Marianne. En effet le régime successoral est égalitaire –
contrairement à d'autres contrées de l'ancien régime - . Le droit
coutumier local attesté lors de l'annexion française de Thionville
prévoit un partage strictement égalitaire, quelque soit l'ordre de
naissance dans la fratrie et quelque soit le sexe8.
Y feront exceptions certains droits seigneuriaux ou des charges
héréditaires et transmissibles mais cela ne concerne pas dans leur
immense la majorité nos communautés villageoises.
Construction de la
chapelle d’Anzeling9
Dans un acte du 2 novembre
1709, il est stipulé que J P BRETTNACHER tailleur d’habits et
maire d’Anzeling, Nicolas MULLER laboureur, Paul BLIMER laboureur,
François HISETTE cordonnier, Jean HUMBERT laboureur, tous
d’Anzeling, tous choisis, élus et députés de la dite communauté
pour la construction de leur chapelle, lesquels ont déclaré devoir
à Nicolas HACKSPILL, vigneron à Hestroff 50 écus blancs pour
subvenir à la construction de leur chapelle promettant de rendre
cette somme en 2 ans avec intérêt.
D’après la SHAN
HISTOIRE D’ANZELING
« La chapelle des débuts
évolua au cours des temps pour obtenir l’église qui est connue
actuellement; les travaux les plus importants datent du XIXe siècle
comme le clocher à jambages de grès qui fut construit en 1862 ».
L’église actuelle était
donc une chapelle au départ, édifiée par les descendants de
BRETTNACHER Claussen famille ancienne déjà repertorié au début du
XVII ème siècle à Villers Brettnacht lieu d'où découle le nom
Brettnacher ou Bretnacher qui signifie originaire de Brettnach.
Assez curieusement des actes passés sur le village de Brettnach
vaudront à ce dernier d'être désigné sous le nom Anzelinger ce
qui le désigne comme origiaire de Anzeling !
Les personnes impliquées :
J. P. BRETTNACHER tailleur
d’habits et maire d’Anzeling, Nicolas MULLER ( x 25 02 1691 BIBER
Barbe) laboureur, Paul BLIMER (° 17 05 1688 + 15 09 1763 x 27 02
1707 WAGNER Marguerite) laboureur, François HISETTE ( x SABEE Anne)
cordonnier, Jean HUMBERT (° Beckerholz x 08 11 1705 BLUEMER Suzanne
, fille de BLUEMER Chrisostome et de BRETTNACHER Suzanne) laboureur,
tous d’Anzeling, élus et députés de la dite communauté pour la
construction de leur chapelle, lesquels ont déclaré devoir à
Nicolas HACKSPIL (°1671 x DALSTEIN Marguerite ) vigneron à Hestroff
, 50 écus blancs pour subvenir à la construction de leur chapelle
promettant de rendre cette somme en 2 ans avec intérêt.J P
BRETTNACHER tailleur d’habits et maire d’Anzeling, probablement
le fils de BRETTNACHER Salentin, enregistré sous WILHEM J.P. Il
pourrait être le frère de J. Simon WILHEM, maire de Hestroff...
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1Archives
du Département de la Moselle, ADM 3E 2061
2Voir
infra,
3A.D.M.
3E757
4Jean
KIEFFER - Villages et Villageois en Lorraine au 18ème siécle –
Le plat pays Thionvillois – Ed Serpenoise – 2ème trim 2002
5Idem
6La
Gaume fait partie de la Lorraine belge, tout comme le Pays d'Arlon.
Sa capitale est la ville de Virton (et par extension, le nord
meusien, Mont st Martin, Audun le Roman etc...). C'est une région
francophone, avec une langue régionale romane, le gaumais, faisant
partie des dialectes lorrains romans. Partie de la Lorraine, gardant
la frontière lorrain roman-francique lorrain divisant la Lorraine
belge en deux régions s'appelant Gaume et Arelerland. Le gaumais
est donc un lorrain roman et non un wallon.
7D'après
J. ANTOINE. Coutumes générales de la ville de Thionville et
autres villes & lieux du Luxembourg français Metz, 1706,
p.22
8
Jean KIEFFER -Destins de Femmes – La conditon des femmes des
campagnes lorraines avant la Révolution -Ed. Serpenoise –
mars 2008
9
ADM 3 E1860 02 11 1709
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suite....... en cours de rédaction
ANNEXES
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Acte de remembrement de la communauté d'Anzeling (daté du 20 juillet 1736)
"....................
Au
dit Hisette en qualité de tuteur de Catherine Couden *sa cousine
germaine procrée du mariage d'ente défunt Estienne Couden et
Elisaberh Bretnacher demeurant à Anzeling alloué quatre jours de
terre et vingt sept verges de prayes faisant trois fauchées un quart
un seizième et trente deux de prayes a elle obtenu de la succession
d'Elisabeth Bretnacher sa mère en vertu du lot de partage du trois
janvier mil sept cent vingt quatre fait avec Jean Pierre Bretnacher
son oncle et consors -uy
4
jrs 0.3 f 1/4 1/16 1/32
Au
dit ...............
---------verge à dix pied
* ou plutôt Louden
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Acte de naissance de Hissette Jean Pierre fils de François Hissette et de Anne Sabe (7 avril 1716)
Le parrain est Jean Pierre Bretnache (Johanus Petrus)r, la marraine est Elisabeth.......
Les actes sont encore rédigés en bas latin
Le parrain est Jean Pierre Bretnache (Johanus Petrus)r, la marraine est Elisabeth.......
Les actes sont encore rédigés en bas latin
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