Cette page (en travail) sera consacrée à l'histoire de Pierre MAILLARD .... le plus ancien ascendant de cette branche familiale.
On n'y retrouvera également les informations ou documents relatifs à la famille Hartard, dont on dont a pu remonter "l'histoire" jusqu'au milieu du XVII ème siècle .... à suivre
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Maillard Pierre.....enfant abandonné à Metz dans des conditions qui restent inconnues.
Son dossier n'a pu être retrouvé pour l'instant. Les dossiers pour ces abandons comportent parfois des fiches descriptives ou des notes précisant les conditions d'abandon. Il nous a été donné l'occasion de consulter certains dossiers où l'on retrouve par exemple avec beaucoup d'émotion, le "billet" avec son épingle à nourrice et sur lequel on peut lire une annotation grossière et hâtive "prenez soin de cet enfant, il est baptisé"....
Les registres de l'Hôpital St Nicolas de Metz mentionnent cependant l'accueil de cet enfant abandonné (ADM Moselle)
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Le registre des enfants trouvés mentionnent l'accueil d'un enfant
qui sera baptisé sous le nom de Pierre Maillard
Au stade actuel des recherches il n' a pas été permis de
connaître les conditions et circonstances de l'abandon de Pierre
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Ci contre : Registre des nourrices de l'Hôpital St Nicolas (1785) ADM Moselle
Pierre Maillard est placé en nourrice auprès de Catherine Marchal pendant plusieurs années consécutives.
A relever ce curieux télescopage avec Catherine Maillard qui prendra le nom de son conjoint... Marchal 150 ans plus tard..
Il sera placé plus tard comme apprenti auprès de la famille Epinger, à Coume dont le père est tisserand de métier et dont il épousera la fille quelques années après ....La proximité et l'hébergement de Pierre au sein de la famille Epinger a sans doute favorisé ce rapprochement.
Il reste au cimetière de Coume, une ou deux tombes portant le patronyme de Maillard, mais la filiation n' a pu être établie.
Il est noter que ce patronyme est relativement courant sur cette partie de la Lorraine et notamment dans le canton de Bouzonville. C'est ainsi que les patronymes Hissette et Maillard se côtoieront sur plusieurs communes (Freistroff, Hestrof, etc..).
Les descendants de la famille de Pierre Maillard resteront dans les métiers de tissus ... jusqu'à une période très récente puisque Eugène Maillard sera marchand de tissus et de confection à Faulquemont et que sa sœur Catherine Maillard, épouse Marchal sera modiste et tiendra également une boutique à Faulquemont.
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La famille semble installée à Faulquemont depuis l'installation de Eugène Nicolas Maillard (1868 1940) et de son épouse Marguerite Klein qui auraient racheté l'enseigne du magasin à son beau frère.
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la famille de Nicolas Maillard avec les vendeuses et apprenties (le magasin est déjà au nom de Eugène Maillard)
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Sur la photo, de gauche à droite, 1er rang, Joseph Maillard, Marguerite Klein, Nicolas Eugène Maillard, Catherine Maillard, X... (une vendeuse ?) et Jean Eugène Maillard qui partira au Maroc pour terminer son service militaire.
A l'arrière plan X....(peut être Jean Joseph Gaudron beau frère de Nicolas Eugène Maillard époux de Barbe Maillard - sage femme - et sœur de Nicolas Eugène Maillard).
Et X ... (une vendeuse). Ces derniers ont cédé le magasin à Nicolas Eugène Maillard et son épouse Klein Marguerite.
En arrière-plan à gauche le magasin de vente (deux vitrines + porte d'entrée), à droite devanture de l'atelier de modiste qui sera tenu par Catherine Maillard.
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A droite les magasins appartenant aux parents de Eugène Maillard dernier représentant dans cette lignée
d'appartenance à des métiers du textile
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La photo ci dessus date également du début du XX ème siècle.
Au premier plan à droite, on retrouve le magasin de modiste qui sera tenu par Catherine Maillard (1900- 1940).
Au premier plan à droite, on retrouve le magasin de modiste qui sera tenu par Catherine Maillard (1900- 1940).
Juste après, il y a la devanture du magasin de tissus et de confection avant son transfert après la guerre de 1945 rue de Metz toujours à Faulquemont, magasin tenu par Eugene Maillard (1905 - 1995) et son épouse Alice Hartard (1912 - 1994).
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Eugéne Maillard - 2ème en partant de la gauche -
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Sur cette photo prise dans un café, au début des années 1920, on retrouve sans doute toute la classe qui sera incorporée vers 1925 (recherches en cours). Eugène fera une partie de son service (deux ans) au Maroc.
Il a donc été présent lors de la fin de la "révolte du riff" qui avait débutée en 1922 sous la conduite de Abdelkrim al-Khattabi qui capitulera en 1926.(1)
Comme commerçant, Eugene Maillard était très connu sur Faulquemont et dans les communes proches (secteurs de Morhange, Pontpierre, etc..). En plus des activités de vente à partir du magasin, il se déplaçait avec une voiture, comme un commerçant ambulant, dans ces communes environnantes.
(1)Face à leur avancée, la puissance
coloniale française envoie le
maréchal Philippe Pétain, rendu
célèbre par la bataille de Verdun,
mener l'offensive militaire sur
le Rif à la tête de 250 000 soldats et
auxiliaires et d'une
quarantaine d'escadrilles d'aviation. Le résident
général Lyautey,
jugé trop attentiste, est contraint de démissionner
puis est
rappelé à Paris en 1925. S'ensuit une répression sur les Rifains,
où bombardements terrestres et aériens, usage d'armes chimiques
de
fabrication allemande (y compris sur des populations civiles) et
supériorité numérique obligent les troupes d'Abdelkrim à se
rendre en mai 1926.
A SUIVRE .........
LA BRANCHE HARTARD AUBERTIN....
Guinglange est le creuset de la famille Hartard... et on retrouvera le patronyme et les ascendances Aubertin du coté de Elvange...
En contre bas de la place de l'église de Guinglange, on trouvera la maison des grands parents Hartard, lignée de maréchaux- ferrants...
LA BRANCHE HARTARD AUBERTIN....
Guinglange est le creuset de la famille Hartard... et on retrouvera le patronyme et les ascendances Aubertin du coté de Elvange...
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| Au premier plan Gabriel, Maria, Jeanne et Alice, enfants de Marie Aubertin et Joseph Hartard leurs parents au second plan vers 1920 
Cette photo a été prise à Bazoncourt lors de l'évacuation des habitants de Faulquemont et des villages environnants à la suite de l'offensive allemande de mai 40. Cependant la famille (au sens large) ne suivra pas les recommandations des autorités et certains membres de la famille trouveront refuge à Bazoncourt en mai 1940 où un "oncle" était instituteur.
Le 24 aout 1940, les familles seront autorisées par les autorités occupantes à revenir à leur domicile en temps "allemands assimilés" .
Sur la photo, de gauche à droite ; Moinette Vilm,
Bernadette Vilm, Georgette Vilm - Stoeffel, Yvon Aubertin - Giry et Alice Hartard.
Afin de pouvoir revenir sur Guinglange entre temps, Alice apprendra à rouler en vélo durant son séjour à Bazoncourt.
photo ci dessus, de gauche à droite - Leon Vilm, son frère
Gustave Vilm, l'épouse de Gustave , Madeleine Aubertin, Odile Aubertin, leur
sœur- sur la charrette ; Georgette Vilm et son frère Jean Marie Vilm, Georges
Aubertin et sa sœur Yvonne Aubertin et avec Gaby Hartard leur cousin (debout
derrière les 4 autres enfants)
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En contre bas de la place de l'église de Guinglange, on trouvera la maison des grands parents Hartard, lignée de maréchaux- ferrants...
Marechal ferrant au travail.....
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Bonjour,
RépondreSupprimery-a-t-il un lien entre cette famille Maillard et celle du Havre qui, au début du 20ème siècle, était négociant en café ?
Bonjour,
SupprimerJe ne pense pas que l'on puisse relier l'origine de la souche très localisée au debut du XX eme siecle sur deux trois villages de l'est mosellan. L'ancêtre le plus ancien est un enfant abandonne à la fin du XVIII ème siècle sans que le nom patrimoniale, malgré des recherches aux archives départementales de la moselle aient pu être relié à une origine familiale.
Bonne journée
René Albrecht